Désillusions sur les appli de rencontres

Nous sommes tombés sur un article du journal Le Parisien très intéressant.
En effet il décrit avec beaucoup de justesse, le ressenti de nombreux célibataires fatigués des sites et des applis de rencontres.

Comme vous le savez c’est notre crédo : nous créons des événements pour célibataires pour faire des rencontres en vrai !

On vous a sélectionné quelques morceaux de cet article.

Des soirées pour les déçus de Tinder

On découvre dans cet article que certaines soirées sont organisées en “déçus de Tinder” pour vider leur sac.

“ce n’est pas pour draguer, mais pour vider leur sac. Raconter, tels des repentis du dating, leurs galères de célibataires en quête de l’âme sœur, atterris sur Tinder, Adopte un mec, Bumble, etc., tous ces sites de rencontres qui les ont poussés à multiplier aventures et « plans cul », disent-ils, leur laissant un souvenir parfois amer et douloureux. Ils sont là pour confier leurs petites hontes, ces conversations avortées, ces histoires trop vite consommées.”

On ne va pas se mentir, nous cela fait un moment qu’on se pose la question : comment faire des rencontres sans les sites et appli de rencontres.

Le fast-food de la rencontre célibataire

La journaliste insiste sur le côté consommation directe des applis de rencontres. Une des participantes à ces réunions explique :

“« Même quand ça dure un peu, c’est le même scénario. On se retrouve. On mange. On baise. » « Il faudrait dire faire l’amour, déjà ! », rectifie une participante. Tout le monde hoche la tête. On est bien d’accord.”

“Sur les applications, il y a un côté cru qui m’agresse pas mal. Une tendance à brûler les étapes. Il faut vite s’embrasser, vite coucher. Ce qui manque, c’est l’incertitude qui marque les débuts d’une relation. »”

Faux profils

Les faux profils sont malheureusement réguliers sur les applis de rencontre. On ment un peu sur son age, son poids, son apparence…
A l’Apéro du Jeudi tout cela est impossible : on a la personne en face de soi ! D’ailleurs c’est le moment de jeter un oeil à notre prochaine soirée célib.

« Est-ce que certains d’entre vous ont ressenti de l’addiction ? Une perte de confiance ? »
« À la base, je suis quelqu’un de romantique mais ces relations toxiques, ça m’a cassée. » répond une participante.
« J’ai vite eu l’impression d’être une prostituée gratuite. Beaucoup de gens m’ont menti sur leur âge, leurs intentions. On s’est mal comportés avec moi, on m’a menti », s’enflamme-t-elle. Déprimée, en perte de repères, elle a depuis tout arrêté. « J’étais devenue une sous-femme, la meuf de l’appli. » Elle a donc débuté une thérapie.

Pas facile d’être un homme sur les sites de rencontres

“« Vous, les femmes, vous cherchez toutes les mêmes mecs : des mâles alpha, avec des muscles, la mâchoire carrée », réagit un homme.
La faute, estime-t-il, aux algorithmes et au business de ces entreprises qui ne mettent jamais en avant son profil. Sur Tinder, peste-t-il, il faut payer pour avoir un boost (une façon de renforcer sa visibilité de façon passagère). Entre 5 et 10 € pour que quelques femmes puissent le remarquer. Son quart d’heure de célébrité. Lui n’est ni grand, ni baraqué.”

Ces témoignages, on les entends très régulièrement à nos soirées célibataires : notre communauté de célibataires fuit les sites et appli de rencontres pour toutes les raisons évoquées dans cet article.

Mais le mouvement prend de l’ampleur… et nos apéros aussi 🙂